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Presse (Divers)

Lundi 24 mai 1 24 /05 /Mai 14:21

Gay pride à Tours : c'était chaud devant !

23/05/2010 06:40

Un bon millier de joyeux lurons et de défenseurs de la cause homosexuelle, et un moment chaud avec les contre-manifestants : c'était hier à Tours.

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  Gay pride à Tours : c'était chaud devant ! 23/05/2010 06:40 (06h40)  Un bon millier de joyeux lurons et de défenseurs de la cause homosexuelle, et un moment chaud avec les contre-manifestants : c'était hier à Tours. La 5e « Lesbian et Gay pride » de Tours a eu lieu hier sous un chaud soleil, dans une joyeuse ambiance, sauf face aux contre-manifestants. - (Photo NR, Patrice Deschamps) La 5e « Lesbian et Gay pride » de Tours a eu lieu hier sous un chaud soleil, dans une joyeuse ambiance, sauf face aux contre-manifestants. - (Photo NR, Patrice Deschamps) - Photo NR Vu et entendu, hier à la Gay pride de Tours (qui a dragué quelque 1.200 joyeux drilles dans les rues de la ville)... A lire avec le sourire et sans complexe. > Bruno, drapé des couleurs gay : « Nous manifestons pour la reconnaissance du mariage et de l'adoption homosexuels. » Au même moment, un couple de mariés sortait de l'hôtel de ville voisin, un homme et une femme visiblement. > Morgan, « sans e », des Tours'Angels : « J'ai le sentiment que la cause gay avance. Il ne faut pas crier à la victimisation. Toutefois, ce n'est pas encore parfait, en particulier sur le plan législatif. » Bref, rendez-vous à la chambre (des députés). > Un ange torse nu sur son nuage rue Nationale, en slip kangourou blanc, ailé de carton, une guirlande de Noël sur la tête en forme d'auréole. C'est lui qui a eu le plus de succès. De là à refaire une thèse sur le sexe des anges... > Une jeune femme en soutien-gorge aux couleurs américaines. Avec toutes les étoiles ? > Des bonnes soeurs en talons aiguilles, guêpières et paillettes, bref, des travestis pas très catholiques. > Parmi les refrains entonnés, « Ce soir, on ira danser, sans chemise, sans pantalon ». On veut bien le croire. > Un corps de femme très dénudé mais fort bien habillé de tatouages. > Des panneaux en forme de faire-part de décès, disant : « Le Vatican tue », et des ballons gonflés à bloc, mais, non, c'était des préservatifs. Gonflé quand même. > Un templier qui avait chaud sous ses capes et une princesse toute de soie jaune poussin vêtue. > Des échanges tendus entre des organisateurs de la manifestation et des représentants de l'extrême-gauche dont la présence n'était sans doute pas appréciée. > Un face à face encore plus tendu, en haut de la rue Nationale, entre le cortège coloré homo et 24 contre-manifestants anti-homo, dont certains étaient gantés de noir, qui ont failli tout faire capoter. Échanges aigre-doux de slogans (à ne pas répéter) et de doigts d'honneur par-dessus les épaules des policiers. Et chacun a filé son chemin. Ouf. Olivier Pouvreau

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Mardi 18 mai 2 18 /05 /Mai 13:39

“Beaumithly.1273827205.jpgcoup ont d’abord cru qu’il s’agissait d’une blague, note Zineb El Rhazoui dans Têtu , lorsque, le 1er avril, est paru le premier magazine homo du monde arabe. «Mithly» est un jeu de mots : le titre signifie à la fois «homo» et «comme moi» en arabe.  La publication qui fait figure de véritable révolution dans les milieux des activistes libertaires se passe sous le manteau.”
“Ces 19 pages entièrement consacrées à ce sujet ultratabou au Maroc créent beaucoup d’espoir, constate Amélie Amilhau dans le quotidien bruxellois Le Soir. « Jusqu’à aujourd’hui, tout ce qu’on pouvait lire sur nous dans les journaux marocains était profondément injurieux. On nous présentait comme des pervers, des dangers pour la société marocaine. Avec Mithly, nous avons voulu donner notre version des choses », explique Mourad, l’un des auteurs de cet ovni journalistique. Leur volonté : faire entendre la voix des gays. Mais pas question pour Mourad ni pour les autres auteurs de donner leurs véritables identités. La revue a été écrite dans la clandestinité.”
La version papier, imprimés à Rabat, a été tirée en 200 exemplaires. Mais c’est sur le site Internet de Mithly que les fondateurs du mensuel misent pour toucher un plus grand lectorat. Le support en langue arabe est financé par l’Union européenne et, à but non lucratif, il a pour objectif d’apporter une note arc-en-ciel dans espace médiatique ultra-stigmatisant.
Un site qui a connu rapidement un énorme succès. C’est le phénomène internet des dernières semaines. “Plus d’un million de clics en trois semaines. Mithly, la première revue gay du monde arabe, n’est pas passée inaperçue, constate Léa-Lisa Westeroff, correspondante à Rabat de Libération et de RFI .

“Dans le magazine, on ne trouve pas de photos provocatrices ni d’article choc mais des informations pratiques, des témoignages de coming-out, un article sur la journée mondiale de la femme, l’essai littéraire de l’écrivain homosexuel Abdellah Taïa et une réponse à la polémique entourant la venue d’Elton John au Maroc. Dix neuf pages en arabe classique accessibles uniquement sur le net. Car être publié en kiosque était tout simplement inimaginable.”
Mithly, est est aussi devenu la bête noire,  le nouvel ennemi des islamistes. « On a reçu des menaces sur le site ; du genre, si on vous trouve on va vous tuer. Quand tu lis ce genre de commentaires ça fait peur », confie Mourad. Résultat, les cinq rédacteurs marocainmithly2.1273827231.jpgs, sauf un qui vit en Espagne, écrivent sous des pseudonymes et dans une discrétion absolue.
“Au Maroc, être homosexuel est un crime passible de six mois à trois ans de prison. Depuis l’indépendance du Maroc en 1956, plus de 5 000 personnes auraient ainsi été arrêtées pour « actes licencieux ou contre nature avec un individu du même sexe », selon l’association marocaine de défense des droits des LGBT (Lesbiennes, gays, bisexuels et transsexuels), Kif-Kif.”
Un des initiateurs de Mithly agit à visage découvert. Djamel Belayachi l’a rencontré, pour Afrik.com . Samir Bergachi est un jeune Marocain, âgé d’à peine 23 ans qui n’a pas froid aux yeux. Il ne se contente pas de vivre son homosexualité à visage découvert dans un pays où elle est considérée comme un crime. Il dirige depuis 6 ans déjà la première association d’homosexuels marocains, Kif-kif. Certains l’exècrent franchement. D’autres restent admiratifs devant son courage. Samir Bergachi entend « consacrer [sa prochaine] une au phénomène du suicide chez les homosexuels. Nous avons réalisé une enquête sur le sujet et avons découvert que le taux de suicides est de 20 % parmi les gays. Ce qui est vraiment inquiétant. »

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Samedi 15 mai 6 15 /05 /Mai 01:36

  Michael-Jackson-01

Interview Olivier O’ Mahony - Paris Match


Deux mois après sa mort, sa vie est encore, chaque jour ou presque, l’objet de révélations. La semaine dernière, un homme a assuré avoir perdu avec le roi de la pop « son âme sœur »... Selon Ian Halperin, auteur de « Michael Jackson. Les dernières années » (éd. Transit), cet assistant médical a bien été l’amant du chanteur... Mais le cœur de ce dernier battait pour un sportif avec qui il aurait vécu une passion de deux ans. Michael rêvait même d’officialiser leur amour. Le journaliste canadien confie à Match les derniers secrets de Michael Jackson, qui devrait enfin être enterré le 3 septembre.

Paris Match. Dans votre livre, vous évoquez l’homosexualité de Michael Jackson et révélez l’existence de deux de ses amants. La semaine dernière, un troisième est “sorti du placard”. Il s’agit de Jason Pfeiffer, assistant du Dr Arnold Klein, le sulfureux dermatologue qui traitait Michael depuis près de trente ans. Ce nouveau rebondissement vous paraît-il crédible ?
Ian Halperin. Jason, je l’avais interviewé, mais j’ai préféré ne pas en parler car il n’avait apporté aucune preuve pour étayer ses propos. Beaucoup d’hommes prétendaient avoir été les amants de Michael. J’en connaissais huit, dont lui. Je n’en ai évoqué que deux, parce que je disposais d’éléments tangibles sur eux : des photos, des témoignages... Cela dit, je pense que Jason raconte la vérité et a bien été l’amant de Michael, mais un simple amant de passage. A la fin de sa vie, Michael avait une histoire d’amour avec un autre homme, qu’il envisageait très sérieusement d’épouser.

Qui ?
Quelqu’un dont je tairai le nom, car c’est une star du basket, un Noir, toujours en activité, et dans ce milieu, se déclarer homosexuel, c’est signer son arrêt de mort. Je ne vous dirai pas s’il a une femme ou des enfants, je n’ai pas envie de rentrer dans ces détails. Je me contenterai de l’appeler L., comme “lover”.

Comment l’avez-vous découvert ?
Il avait lu mon livre, paru aux Etats-Unis en juillet, et voulait une dédicace... Je crois qu’il a reconnu le Michael que je décrivais. Comme il me faisait confiance, il m’a raconté toute son histoire avec lui, sans aucune gêne. J’ai ensuite interrogé des membres du clan Jackson pour vérifier ses propos. Tout ce qu’il m’avait dit m’a été confirmé.

Comment a commencé cette ­histoire ?
L. et Michael se sont connus il y a une dizaine d’années et sont tout de suite devenus amis. Puis cette relation a basculé en histoire d’amour. C’était il y a deux ans. Depuis, ils se sont vus régulièrement.

Où se rencontraient-ils ?
La plupart du temps chez L., à Los Angeles. Ils n’habitaient pas très loin l’un de l’autre. Michael débarquait chez lui accompagné d’un chauffeur ou d’un garde du corps. Une fois seuls, ils regardaient des films, buvaient du vin rouge, des bouteilles hors de prix, de l’ordre de 3 000 dollars pièce, puis s’endormaient. Souvent, Michael ne s’en allait que le lendemain matin.

Vous dites qu’ils parlaient ­mariage...
Progressivement, leur relation s’est transformée en passion. Ils se sont alors mutuellement offert des alliances à 50 000 dollars, incrustées de diamants et fabriquées en Russie, dans l’espoir de se marier un jour.

Mais cette union aurait forcément été célébrée dans la discrétion, non ?
Pas du tout. Michael voulait faire son “coming out”. Simplement, il ne savait pas comment s’y prendre, ni quel prétexte saisir.

Cela ne lui posait aucun problème vis-à-vis de ses enfants ?
Aucun. Il pensait qu’ils comprendraient. N’oubliez pas que Michael a passé sa vie à se cacher.
Il disait souvent que, chez les Noirs, faire son coming out relève du “career suicide” [suicide professionnel], et il voulait que ça change. Cette relation était probablement la seule vraie histoire d’amour qu’il ait jamais connue. Alors, il a eu envie de l’officialiser, pour se réconcilier avec lui-même. Il se fichait du qu’en-dira-t-on. Dans son esprit, ça passait par un grand mariage en bonne et due forme, pieds nus dans le sable, au bord du Pacifique, avec des célébrités, Steven Spielberg, Arnold Schwarzenegger, et toute la famille Jackson... L. m’a affirmé qu’ils avaient en tête ce projet fou.

L. va-t-il en parler publiquement ?
Ce n’est pas impossible, car il en a matériellement besoin. L. a en effet prêté plus de 500 000 dollars à Michael pour l’aider à surmonter ses difficultés financières. Il m’assure qu’il peut en fournir la preuve. Mais pour les récupérer, la seule solution, c’est de sortir du bois. Alors il se dit éventuellement prêt. Nous verrons. Michael n’était pas sa première relation gay. Il est en fin de carrière. Faire son “coming out” aujourd’hui, c’est moins risqué pour lui qu’il y a dix ans.

 

 

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Mercredi 21 avril 3 21 /04 /Avr 00:54

 

Novembre
©Hollywood je t'aime
De très bonnes Vues.
Vues d'en Face, le plus ancien des festivals de cinéma LGBT rhônalpins, célèbre du 20 au 27 avril sa neuvième édition, plus variée et plus internationale que jamais.
Ce n'est pas encore les Jeux Olympiques, mais on s'en rapproche : cette année, ce sont pas moins de seize pays qui seront représentés pendant la neuvième édition du Festival international du film gay et lesbien de Grenoble, Vues d'en Face. Depuis sa création en 2001, cet événement cinéphile a toujours misé sur l'ouverture à l'étranger : une assurance, peut-être, pour mieux comprendre et aborder l'homosexualité et les questions de genre dans toute leur diversité, sans se cantonner à leurs représentations familières. En 2010 encore, les programmateurs ont réussi cette gageure de réunir des œuvres venues des cinq continents, qui sont autant de preuves qu'aucune société, aucune culture, n'a le monopole du machisme, du traditionalisme et de l'intolérance religieuse. Diversité dans la provenance des œuvres, donc, mais aussi dans la forme puisque pendant sept jours, longs-métrages, documentaires et courts-métrages s'enchaîneront au cinéma Le Club et dans quelques salles partenaires. Jean Dorel, le président de l’association Vues d’en Face, nous présente l’édition 2010 du festival.

Sur quelles thématiques avez-vous décidé d'axer la programmation de cette neuvième édition du festival Vues d'en Face ?

En cette année de Coupe du monde, et en écho au thème de la Journée mondiale de l'homophobie, nous avons sélectionné deux films parlant de sport. Il s'agit du documentaire passé sur Canal+ en début d'année, Sport et homosexualités, c'est quoi le problème ?, qui est un film aussi intéressant dans son fond que dans sa forme, et du film de Louis Dupont, Les Garçons de la Piscine, qui clôturera le festival et qui suit trois nageurs s'adonnant à un sport majoritairement féminin, la natation synchronisée. Les réalisateurs de ces deux documentaires seront présents pour nous en parler. Pour le reste, la programmation de Vues d'en Face n'est pas véritablement axée sur une thématique : on essaye de choisir des films récents, rarement vus ou pas vus du tout à Grenoble, qui sortent tard, qui sortent peu, qui sont mal édités en DVD mais que l’on juge pourtant intéressants et que l’on a envie de montrer.

Avez-vous un coup de cœur dans cette sélection très riche ?

Oui, une comédie américaine qui s'est révélée une bonne surprise, Hollywood je t'aime, qui est très simple en apparence mais qui brasse beaucoup de thèmes et évacue certains clichés à la vie dure. Cela en fait un film très salvateur.

En début d'année prochaine se tiendra à Lyon la première édition du festival Écrans Mixtes. Pensez-vous qu'il y ait la place pour un troisième festival de cinéma LGBT en Rhône-Alpes ?

A priori non, pas vraiment. Évidemment, plus on peut voir les films, mieux c'est ; mais si c'est pour voir toujours les mêmes films, cela perd clairement de son intérêt. Cela étant dit, lors des Assises du cinéma LGBT de Saint-Étienne (organisées par le festival Face à Face du 26 au 29 novembre dernier, NdlR), on s'est aperçu que tous les festivals faisaient des choix très différents, et c'est évidemment là que réside leur intérêt. Je ne pense pas qu'Écrans Mixtes projettera les mêmes films que nous, je crois qu'il trouvera sa propre formule et alors tout ira bien.





Vues d’en Face : sélection

Coup de projecteur sur cinq films qui ont attiré l’attention de la rédaction.


Focus : Eating Out 3

La réalisation de buddy movies, films potaches à la Very Bad Trip, ne serait donc pas seulement l’apanage des hétéros ? La trilogie attachante et drôle d’Eating Out est sans doute la première tentative réussie d’offrir un équivalent homo aux American Pie et autres Supergrave. Dans le premier opus (le plus réussi), Caleb tente de conquérir la belle Gwen. Jusque là, rien que du très classique. Sauf que Gwen est une «fag hag», une fille à pédés. Suivant les conseils de son colocataire gay, Caleb décide donc de se faire passer pour homo… La réussite d’Eating Out tient principalement à ses dialogues acérés et à la drôlerie des personnages qui composent la série. Pour ne rien gâcher, le casting est toujours assuré par de très beaux garçons, comme Ryan Carnes, que l’on peut voir également dans Desperate Housewives. Alors qu'aucune sortie au cinéma ne semble prévue en France pour Eating Out 3, sa projection lors du festival offre l’opportunité de découvrir le dernier volet d'une trilogie devenue incontournable.

Le 24 avril à 16h


Vil Romance

La relation destructrice entre un jeune homme et un quinquagénaire un peu trop possessif dans une société argentine toujours en proie au machisme. Pour amateurs de sensations fortes.

Le 21 avril à 22h


Beyond Gay – The Politics of Pride

Un documentaire canadien sur les Gay Pride à travers le monde, qui propose de faire de celles-ci «une unité de mesure de l'état des libertés individuelles». Instructif, militant et festif.

Le 22 avril à 20h


Fucking different Tel Aviv

Seize cinéastes israéliens gays et lesbiennes livrent, en de courtes séquences, leurs visions respectives de l'homosexualité au sein d'un pays où l'intégrisme religieux est plus vivace que jamais.

Le 25 avril à 16h


Soundless Wind Chime

À Hong-Kong, la romance entre Ricky le Chinois et Pascal le Suisse prend fin brutalement avec la disparition de ce dernier. Son amant décide alors de partir pour la Suisse.

Le 26 avril à 20h

_Romain Vallet & Gaspard Dhellemmes_

Festival Vues d'en Face
Du 20 au 27 avril
Au cinéma Le Club, 9 rue du Phalanstère-Grenoble



www.vuesdenface.com
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Göran et Sven forment un couple suédois fraîchement marié (en Suède, le mariage homosexuel est légal depuis le 1er mai dernier) et viennent d’emménager dans une banlieue résidentielle proprette qui évoque furieusement une version scandinave de Wisteria Lane (le petit univers bourgeois et coquet dans lequel évoluent les héroïnes de la série américaine Desperate Housewives). Ne manque qu’un enfant pour compléter leur bonheur. Ils se lancent donc dans le parcours du combattant que constitue encore [...]

Mehdi Ben Attia est un jeune réalisateur tunisien dont le premier film, Le Fil, sortira en salles le 12 mai prochain. Malik, le héros du film, est un jeune architecte tunisien exerçant son métier en France. Quelques mois après la mort de son père, il rentre au pays rendre visite à sa mère (incarnée à l’écran par Claudia Cardinale), une grande bourgeoise qui vit dans une superbe villa sur les hauteurs de Tunis. Là-bas, il ne tarde pas à nouer une liaison avec Bilal, son jeune jardinier…


Vous avez été nombreux à exprimer votre déception devant l'absence sur les écrans lyonnais du film espagnol Ander, dont nous vous disions le plus grand bien le mois dernier. Trois semaines après sa sortie nationale, cette histoire d'amour entre un paysan basque et un immigré péruvien semblait condamnée à n'être projetée pratiquement que dans la capitale, à l'exception de quelques rares s [...]

De Ang Lee (Universal) [...]

Le titre le dit d'emblée : il y a un secret dans cette histoire, un secret masqué par les apparences, une forêt de secrets dissimulée derrière un arbre. Et c'est la levée, d'abord progressive puis brutale de ce(s) secret(s) à la suite d'un décès – celui du fils aîné du héros septuagénaire incarné par Guy Marchand, comme par hasard un sylviculteur – qui sert de moteur à ce beau film grave, qui a valu à ses réalisateurs un Prix Jean Vigo et une sélection à Berlin amplement mérités. Est-ce déflorer [...]
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Mercredi 21 avril 3 21 /04 /Avr 00:48

Le Vatican ajoute la honte de l’homophobie à l’infamie de la pédophilie

Communiqué de presse. Paris, le 13 avril 2010

David & Jonathan, mouvement homosexuel chrétien, est révulsé de l’amalgame que le cardinal Tarcisio Bertone, Secrétaire d’État du Vatican, a fait lundi 12 avril à Santiago du Chili, liant une fois de plus pédophilie et homosexualité. Le cardinal s’inscrit en cela dans la suite de l’instruction (approuvée par le pape) qui, depuis novembre 2005, interdit l’ordination d’homosexuels pour « parer tout risque » de pédophilie dans le clergé. En octobre 2009, Mgr Silvano Tomasi, Observateur permanent du Vatican auprès de l’ONU, avait soutenu le même point de vue.

Cette affirmation gratuite insulte l’intelligence.Tout en se parant de l’autorité de psychothérapeutes, quitte à les instrumentaliser, Bertone n’avance jamais les preuves de ses allégations. L’affirmation d’un lien structurel et sans nuance entre homosexualité et pédophilie est tout aussi contestable que l’association entre célibat et pédophilie. La pédophilie est majoritairement hétérosexuelle dans la société, au sein des institutions comme des familles. Dans l’Église, si de nombreuses victimes de prêtres pédophiles sont des garçons, c’est que le clergé, centré sur le monde masculin, est beaucoup moins au contact de filles.
Cette affirmation est une agression envers tous les homosexuel-le-s– dont certains sont catholiques, laïcs ou prêtres –, une fois de plus stigmatisé-e-s et diffamé-e-s par de hauts responsables catholiques. Notre association demande à tous les catholiques et à leurs pasteurs de se désolidariser avec clarté des propos du cardinal. Il ne suffit pas d’en demander pardon mais de modifier réellement tous les propos ou comportements qui induisent une haine des homosexuel-le-s.

Cette attaque est une réponse inadaptée au scandale de la pédophilie. S’il n’y a pas de lien nécessaire entre célibat et pédophilie, le célibat des prêtres vécu sereinement n’est pas ici en question. En revanche, une approche idéalisée ou le refoulement de la sexualité, la fixation obsessionnelle sur le « péché », un célibat mal assumé, une vision négative de la femme comme « tentatrice »… cantonnent certains prêtres et religieux dans l’immaturité affective et sexuelle, exacerbent leurs pulsions et favorisent chez eux des conduites déviantes ou de substitution. Concernant la pédophilie de ses prêtres, la hiérarchie catholique semble prendre le parti des victimes et abandonner la culture du secret. Mais elle continue pourtant d’ignorer le cœur du problème : la puissance incontrôlée de ceux qui ont « autorité » et le défaut d’équilibre affectif de certains de ses prêtres.

La hiérarchie catholique passe maintenant à l’offensive et veut faire diversion en allumant des contre-feuxà sa mise en cause publique, de la part de ses propres fidèles notamment. Sa première parade a été d’exprimer une compassion voire des regrets envers les victimes tout en affirmant sa solidarité avec tous les prêtres, évêques et pape « injustement diffamés ». Après s’être posés en victimes de l’« acharnement médiatique », certains responsables catholiques cherchent des boucs-émissaires pour expier leurs fautes à leur place et les dispenser d’assumer leurs responsabilités, en changeant en profondeur leurs comportements ou leurs discours. Faisant cela, ils ne semblent pas prendre la mesure du discrédit de leur parole en matière de morale et continuent de se poser en experts dans ce domaine. Mais, ils ne font qu’ajouter la honte de l’homophobie à l’infamie de la pédophilie.

Patrick Sanguinetti, co-président et porte-parole de David & Jonathan
Contact : 06 73 60 98 04, communication@davidetjonathan.com

Plus d’informations sur www.davidetjonathan.com/spip.php?article5842

David & Jonathan, mouvement homosexuel chrétien, est une association loi 1901 fondée en 1972, présente dans 22 villes de France. Elle est membre de l’Inter-LGBT (Interassociative lesbienne gaie bi et trans), de regroupements associatifs locaux, de Sida Info Service, du RAVAD (Réseau d’assistance aux victimes d’agression et de discrimination), de Chrétiens et Sida, des Réseaux du Parvis (Chrétiens en liberté pour d’autres visages d’Eglise), membre de l’ILGA-Europe (International Lesbian and Gay Association) et co-fondatrice du Forum européen des groupes chrétiens gays et lesbiens. David & Jonathan est partenaire de la journée mondiale de lutte contre l’homophobie dont le thème en 2010 et 2011 sera « Homophobie et institutions religieuses ».

David & Jonathan, 92 bis, rue de Picpus, 75012 Paris.
Tél./fax : 01 43 42 09 49. Courriel : contact@davidetjonathan.com
Site : www.davidetjonathan.com, 190 000 visites et 1,3 million de pages visitées sur 1 an (source Urchin™)
Médias : 06 73 60 98 04 et communication@davidetjonathan.com

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Dimanche 14 mars 7 14 /03 /Mars 23:20

Télé-réalité : "L'amour est aveugle" bientôt sur TF1

Arnaud Lemaire
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Arnaud Lemaire
Crédits : NRJ 12
Publié par Julien Lalande
Samedi 13 Mars 2010 21h29
Envoyer par email Facebook
Info OZAP.com Malgré la déception de La Ferme célébrités en Afrique, qui doit rester encore quatre semaines à l'antenne avant de tirer définitivement sa révérence, TF1 va continuer à miser sur la télé-réalité ces prochaines mois. Outre une quatrième saison de Secret Story et un Bachelor gay cet été, la chaîne va lancer dans quelques semaines L'Amour est aveugle, un programme inédit en France, produit par Endemol et animé par Arnaud Lemaire, le compagnon de Claire Chazal. Six épisodes seront programmés en deuxième partie de soirée, probablement le vendredi.

Enregistrée cet automne, cette émission réunit 6 célibataires - 3 hommes et 3 femmes - enfermés dans une maison. « Les garçons évoluent dans une partie de la maison, les filles dans une seconde partie. Ils ne se rencontrent jamais, à part dans le noir », nous avait expliqué Angela Lorente en marge du MipCom 2009. En effet, les garçons et les filles ne pourront se rencontrer que dans une seule pièce plongée dans le noir. « Il n'y a que les téléspectateurs qui verront bien ce qu'il s'y passe grâce à des caméras infrarouges. Des affinités vont se créer malgré l'absence de lumière... Au bout de quelques jours, s'ils se choisissent, ils se découvrent », nous avait indiqué Angela Lorente.

Mais, selon nos informations, un autre ressort viendra pimenter le jeu. Alors que les premières affinités vont se créer entre les 6 candidats, la production fera entrer dans la maison un homme et une femme au physique idéal... "L'amour" basé sur la "beauté intérieure" survivra-t-il face à des personnalités aux physiques irréprochables ?
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Dimanche 14 mars 7 14 /03 /Mars 22:34

PORNO BUZZ: un policier acteur X, le porno en prison et des sextoys

Par Romain Burrel dimanche 14 mars 2010, à 10h59 | 3780 vues
Plus de: porno buzz, Titan, Michael Verdugo

Cette semaine dans PORNO BUZZ, il n’y a pas de justice! Un policier se voit rattraper par son passé d'acteur porno, un prisonnier britannique se voit sucrer ses magazines coquins et les studios Titan se lancent dans l'outillage…

Un officier de police viré à cause de son passé de pornostar!
Il y a quelques mois encore, Michael Verdugo était un agent de la police de Floride (photo, en haut à gauche). Ce magnifique policier de 35  ans, tatoué et au sourire ravageur partage la même passion que Valérie Damidot: la déco. En 2008, il participe à l'émission américaine Design Star, un reality show diffusé sur la chaîne HGTV, un network spécialisé dans la décoration. De là, son passé d'ancien acteur porno refait surface. En 1996, âgé d’à peine 22 ans, Verdugo était – sous le pseudonyme de Jeremy Wess – la star d'un film bondage gay, Rope Rituals. Quand le département d'Etat a vent de la vidéo, il juge le passé de son agent trop sulfureux. Le policier est placé en disponibilité de l'administration, son salaire est suspendu et il sera finalement viré en janvier 2009 après huit ans de services dans les forces de l'ordre de Floride. Motif invoqué: il aurait délibérément menti (ommis?) sur son passé d'acteur porno. Dans une interview accordée au numéro d'avril du magazine The Advocate, Verdugo raconte sa version de l'affaire. Il assume autant sa sexualité que son passé d'acteur porno: «Je ne le regrette pas, dit-il. C'est une période de ma vie où je voulais faire des expériences. Voilà tout.» avant d'ajouter: «Si j'avais tourné dans un porno hétéro, jamais je n’aurais été viré. C'est le fait qu'il s’agisse d'un film bondage et gay qui les a fait flipper.» Pour lui cela ne fait aucun doute, son licenciement a un caractère discriminant. Il a décidé de porter l'affaire devant les tribunaux.

 

Pas de porno gay en prison!
John O'Reilly est un gay très malheureux. Il purge actuellement une peine de prison au pénitencier de Burton, en Angleterre, mais sa condamnation lui semblerait moins lourde si on l'autorisait à conserver ses magazines pornos gays! Dans une lettre adressée au journal de prisonniers Inside Times, il explique comment le personnel encadrant lui a confisqué ses lectures alors que, selon lui, ses codétenus hétérosexuels ont tout à fait le droit de posséder ce genre de presse. Il accuse clairement les cadres de la prison d'homophobie. «J’ai acheté ces revues à la prison de Birmingham est cela n'a posé aucun problème!» Interrogé sur le sujet, le directeur de la prison a déclaré qu'il juge le contenu de tels magazines «inappropriés». La porte-parole du service des prisons britanniques a indiqué que «les magazines à caractères pornographiques sont bien autorisés dans les prisons. Mais que leur accès était laissé à l'appréciation des responsables de l'établissement.» Aux dernières nouvelles, le pauvre John n'a toujours pas récupéré ses PlayGuys.

Hot or Not ? La «boîte à outils» de Titan
Comment faire d'une pierre, deux coups: les studios Titan, en bons entrepreneurs, ont trouvé un astucieux moyen de promouvoir à moindre frais leur toute nouvelle ligne de sextoys: en faire un film! Dans ToolBox (littéralement «boîte à outils»), on peut voir les stars du célèbre label comme David Anthony ou Fabio Stallone utiliser les nouveaux «outils» de la gamme Titanmen. Une bonne façon de déclencher un achat d'impulsion. Et vous, les sextoys dans le porno, ça vous plaît ou ça vous fait bâiller?

Par GPVARW - Publié dans : Presse (Divers) - Communauté : Communauté gay
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